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Vivre ensemble

Vivre ensemble

BRUITS DE VOISINAGE

Entre voisins, moins on s’entend… mieux en s’entend, mieux on se détend !...

Attention donc aux nuisances sonores, le bruit est une pollution…

Le calme d’une habitation est le complément nécessaire à l’agitation de la vie courante.

Par conséquent, les litiges en matière de bruit peuvent être vécus comme une atteinte importante au cœur même de la sphère privée. Souvent, leurs effets se font ressentir au delà des nuisances sonores et peuvent alors détériorer sévèrement les relations de voisinage.

Quelques règles à retenir :

  • Chacun évite des bruits excessifs qui peuvent incommoder l’entourage ; il respecte le repos public de 22h à 7h.
  • Chacun est tenu de prendre toute précaution utile pour éviter de troubler la tranquillité et le repos d’autrui.
  • Lors d’évènements festifs ponctuels, une information préalable à ses voisins facilite l’acceptation de ces situations qui doivent toutefois demeurer exceptionnelles.
  • Les nuisances sonores ne sont pas plus autorisées pendant la journée que pendant la nuit.

NUISANCES SONORES

Nous rappelons que les travaux de bricolage et de jardinage (tondeuses) ne sont autorisés qu'aux horaires ci-dessous.

Extrait de l’Arrêté préfectoral n° 97-5126 du 31 juillet 1997:

Tout bruit de nature à porter atteinte à la tranquillité du voisinage est interdit, de jour comme de nuit.

ARTICLE 9 : Les personnes doivent prendre toutes les précautions pour éviter que le voisinage ne soit gêné par les bruits répétés et intempestifs émanant de leurs activités, des appareils utilisés.

A cet effet, les travaux de bricolage et de jardinage utilisant des appareils susceptibles de causer une gêne pour le voisinage en raison de leur intensité sonore sont autorisés seulement aux horaires suivants :

- Les jours ouvrables : de 8 H 30 à 12 H et de 14 H à 19 H 30

- les samedis : de 9 H à 12 H et de 15 H à 19 H

- les dimanches et jours fériés: de 10 H à 12 H.

DU BON USAGE DE L’EAU ET DE L’ENERGIE

Nos habitations sont de plus en plus équipées d’appareils électriques et électroniques et notre consommation d’électricité ne cesse d’augmenter.

Nous ne sommes pas toujours économes non plus avec le chauffage et l’eau chaude qui représente pourtant près de 75% de la consommation d’énergie des logements.

Et sur nos territoires, l’eau étant encore facilement disponible et assez abondante (mais pour combien de temps ?...), on a tendance à ne pas faire attention à son utilisation. Les français consomment beaucoup : 143 litres d’eau potable par jour dont 7% pour la boisson et la préparation des repas, 93% pour l’hygiène corporelle, les sanitaires, la lessive, la vaisselle et l’entretien de l’habitat.

Ce gaspillage entraîne :

  • La consommation d’énergies non renouvelables (uranium, fioul, gaz) pour la production d’électricité et de chaleur ;
  • L’émission de gaz à effet de serre ;
  • L’augmentation de la quantité d’eau usée à traiter.

En savoir plus sur les façons d’économiser l’eau et l’énergie… et notre argent :

https://www.ademe.fr/sites/default/files/assets/documents/guide-pratique-economiser-eau-energie.pdf

LA LUTTE OBLIGATOIRE CONTRE L’AMBROISIE EST L’AFFAIRE DE TOUS !

Une plante sauvage qui nuit à la santé.

Dans le département de l'Isère, la destruction de l'ambroisie est obligatoire, depuis l’arrêté préfectoral du 7 mars 2000.

Si l'ambroisie est observée sur un terrain, il faut organiser une intervention rapide visant à la supprimer.

Sachez la reconnaître, ne la laissez pas émettre son pollen, il est très allergisant.

Pour tous renseignements, vous pouvez contacterla mairie et son référent ambroisie : Michel Romey.

Vous pouvez aussi signaler sa présence grâce à la plateforme « Signalement ambroisie », sur l'application mobile « Signalement ambroisie » à télécharger sur votre store habituel.

L'ambroisie à feuille d'armoise (Ambrosia artemisiifolia L.) fait partie de ce que l'on appelle couramment « les mauvaises herbes ».

Elle est de la même famille que le tournesol (Asteracées ou Composées).
Sa morphologie se transforme au cours de son développement pour donner, au moment de la floraison, un buisson qui peut atteindre plus d'un mètre de haut.

BRÛLAGE DES VEGETAUX

Nouvelle réglementation : L’arrêté préfectoral du 18 novembre 2013 abroge et remplace l’arrêté du 15 décembre 2008 qui règlementait le brûlage des déchets végétaux.

Le brûlage des déchets végétaux est désormais totalement interdit sur l’ensemble du département de l’Isère.

Le non respect de cette interdiction constitue une contravention passible d’une amende de 450 euros (art 131-13 du nouveau code pénal).

Les végétaux concernés sont les déchets verts, les végétaux coupés ou sur pied quelle que soit leur teneur en humidité, ainsi que les végétaux issus de l’entretien des jardins et des espaces ou domaines publics ou privés.

Ne relèvent pas de cet arrêté les incinérations de végétaux entreprises par les agriculteurs ou forestiers dans le cadre de leur activité professionnelle, ainsi que celles réalisées au titre de l’obligation légale de débroussaillement.

CHARTE DE BON VOISINAGE EN NUCICULTURE DANS LA VALLEE DE L’ISERE

Cette charte a été mise en place suite aux difficultés relationnelles croissantes entre les nuciculteurs et les riverains. Son but est de définir des règles simples et réalistes permettant

de faire évoluer les utilisations de pesticides à proximité des lieux de vie afin de protéger les populations riveraines et de préserver la santé publique tout en conciliant les contraintes techniques et économiques de la production.

Lien vers la charte :

https://noix-nature-sante.fr/images/PDF/Charte122019.pdf

DIVAGATION DES ANIMAUX

Il est rappelé que la divagation des animaux domestiques non tenus en laisse est formellement interdite. Des mesures de capture peuvent être mises en place et tout animal capturé sera conduit à la fourrière. Son propriétaire devra acquitter une amende pour non respect de la loi, ainsi que les frais engagés par la capture. Par ailleurs, il est rappelé que, dans un souci d'hygiène publique et de propreté des voies et des rues de la commune, les propriétaires doivent veiller à éviter que leurs animaux satisfassent leurs besoins naturels sur les trottoirs et places publiques. Il est également rappelé que la responsabilité civile des propriétaires peut être mise en jeu à la suite d'accidents provoqués par leurs animaux.